
L’empreinte écologique dans les cryptos
La consommation d’énergie de Bitcoin, Ethereum et d’autres réseaux blockchain basés sur la preuve de travail est devenue un vrai sujet de préoccupation.
Combien d’énergie consomment Bitcoin et Ethereum ? Comment se comparent-ils à la consommation d’énergie comme Tezos et à celle des nouvelles blockchains ?
Selon l’Université de Cambridge, la consommation d’énergie annuelle actuelle de Bitcoin à 130 TWh, une consommation continue de 15 gigawatts d’électricité.
Certaines estimations de la consommation énergétique annuelle d’Ethereum la placent à environ 26 TWh, un tirage de 3 gigawatts.
L’empreinte carbone de ces deux technologies est absolument énorme, comparable à celle de pays entiers.
En revanche, l’énergie utilisée annuellement par les validateurs du réseau Tezos est probablement de l’ordre de 60 MWh, une consommation continue de peut-être 7 kilowatts.
Ces chiffres diffèrent d’un facteur supérieur à deux millions, entre six et sept d’ordre de grandeur.


Grâce au protocole fondé sur la preuve d’enjeu (Proof of Stake), la blockchain Tezos est infiniment moins énergivore que des blockchains comme Bitcoin ou Ethereum, une caractéristique essentielle à l’heure de la transition énergétique.
En arrière plan, Ethereum tente malgré tout de prendre en compte cette réalité avec une évolution possible du protocole qui subira des changements importants prévue normalement en juin 2022.
La blockchain Tezos reste à l’avant-garde et propose une solution fiable et pérenne. Elle se distingue selon trois points essentiels :
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Eco-responsable, par sa faible consommation énergétique algorithme de consensus (Proof of Stake)
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Fiable, grâce à l’usage des technologies directement issues de la recherche utilisation de preuve formelle et plus sécurisée grâce choix du langage de programmation OCaml
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Évolutive, par son mécanisme d’auto-amendement (éviter les forks et adopter simplement les innovations d’autres protocoles)